Imaginez que vous donnez une entrevue à un journal local au sujet d’une plante qui a récemment fait l’objet d’une importante couverture médiatique. Vous êtes un horticulteur qui travaille pour le service des parcs de la ville et vous êtes spécialiste d’une plante phanérogame appelée whenthorn. Cette plante vivace orne de nombreuses plates-bandes urbaines, car elle est résistante et elle donne de grandes fleurs colorées qui durent plusieurs mois chaque été. Malheureusement, cette plante peut s’avérer dangereusement toxique et il vous incombe maintenant d’informer les jardiniers de la région des risques de la whenthorn et de les convaincre de l’arracher.
En tant qu’horticulteur, vous possédez une vaste expérience des plantes ornementales comme la whenthorn. Toutefois, contrairement à la majorité des autres plantes, les fleurs de la whenthorn nuisent aux plates-bandes, et même à l’écosystème urbain, chaque année où on leur permet de fleurir. En raison de ses petites feuilles très acides qui décomposent le sol et en diminuent le pH, ainsi que de ses racines qui absorbent toute l’humidité et tous les nutriments du sol, la whenthorn étouffe en fait toutes les autres plantes qui se trouvent dans la même plate-bande. Ses superbes fleurs sont aussi hautement toxiques pour les animaux qui se risquent à en consommer, comme les oiseaux et parfois même les chiens et les chats du voisinage. Parce que la whenthorn est nuisible, vous voulez en débarrasser la région. Vous avez donc lancé une campagne pour la supprimer de tous les jardins et de toutes les plates-bandes de la ville.
Vous avez offert de votre temps à titre d’expert en horticulture à des émissions-débats à la télévision et à la radio, vous avez donné des dizaines d’entrevues aux médias et organisé des activités de nettoyage de quartiers. La semaine prochaine, vous procéderez à une démonstration pour montrer aux résidants comment se débarrasser de la whenthorn et de toutes les traces qu’elle aurait pu laisser; vous leur montrerez également comment remettre en état les plates-bandes endommagées et vous leur ferez part de recommandations au sujet des plantes pouvant remplacer cette plante colorée. Une part importante de votre travail consiste à assurer la sécurité et la salubrité des jardins municipaux.
Imaginez que vous donnez une entrevue à un journal local au sujet d’une plante qui a récemment fait l’objet d’une importante couverture médiatique. Vous êtes un horticulteur qui travaille pour le service des parcs de la ville et vous êtes spécialiste d’une plante phanérogame appelée whenthorn. Cette plante vivace orne de nombreuses plates-bandes urbaines, car elle est résistante et elle donne de grandes fleurs colorées qui durent plusieurs mois chaque été. Malheureusement, cette plante peut s’avérer dangereusement toxique et il vous incombe maintenant d’informer les jardiniers de la région des risques de la whenthorn et de les convaincre de l’arracher.
En tant qu’horticulteur, vous possédez une vaste expérience des plantes ornementales comme la whenthorn. Toutefois, contrairement à la majorité des autres plantes, les fleurs de la whenthorn nuisent aux plates-bandes, et même à l’écosystème urbain, chaque année où on leur permet de fleurir. En raison de ses petites feuilles très acides qui décomposent le sol et en diminuent le pH, ainsi que de ses racines qui absorbent toute l’humidité et tous les nutriments du sol, la whenthorn étouffe en fait toutes les autres plantes qui se trouvent dans la même plate-bande. Ses superbes fleurs sont aussi hautement toxiques pour les animaux qui se risquent à en consommer, comme les oiseaux et parfois même les chiens et les chats du voisinage. Parce que la whenthorn est nuisible, vous voulez en débarrasser la région. Vous avez donc lancé une campagne pour la supprimer de tous les jardins et de toutes les plates-bandes de la ville.
Vous avez offert de votre temps à titre d’expert en horticulture à des émissions-débats à la télévision et à la radio, vous avez donné des dizaines d’entrevues aux médias et organisé des activités de nettoyage de quartiers. La semaine prochaine, vous procéderez à une démonstration pour montrer aux résidants comment se débarrasser de la whenthorn et de toutes les traces qu’elle aurait pu laisser; vous leur montrerez également comment remettre en état les plates-bandes endommagées et vous leur ferez part de recommandations au sujet des plantes pouvant remplacer cette plante colorée. Une part importante de votre travail consiste à assurer la sécurité et la salubrité des jardins municipaux.
Les horticulteurs travaillent à divers endroits :
Au bureau :
Sur le terrain :
Il existe plusieurs endroits où les horticulteurs peuvent trouver un emploi :
Chercher des emplois sur la plateforme d’offres d’emplois d’ECO Canada
Si vous envisagez une carrière en tant qu’horticulteur, vous devez vous intéresser de près à ce qui suit :
Si vous étudiez au niveau postsecondaire et que vous envisagez une carrière en tant qu’horticulteur, les programmes les plus pertinents sont les suivants :
Dans la plupart des cas, vous devez posséder au minimum un diplôme technique d’études collégiales.
Généralement, il n’est pas nécessaire d’être agréé pour travailler comme horticulteur. Toutefois, certains secteurs exigent un agrément à titre de forestier ou d’agronome professionnel. Les praticiens peuvent aussi présenter une demande de statut professionnel en tant que biologiste. Les exigences concernant le statut professionnel varient selon les provinces. De plus, les horticulteurs-paysagistes qui travaillent avec des pesticides doivent posséder la certification adéquate dans certaines provinces.
Notre agrément de professionnel de l’environnement (EP) peut également vous aider à progresser dans la carrière en environnement que vous avez choisie.
Compétences techniques
Compétences personnelles et professionnelles
Les employeurs en environnement recherchent des professionnels qui sont dotés de connaissances techniques et de compétences personnelles et professionnelles. Regardez gratuitement notre webinaire Les compétences essentielles, non optionnelles ou suivez nos formations sur les compétences essentielles.
Les horticulteurs sont classés dans les groupes de professions suivants :
Code CNP : 22114 – Techniciens/techniciennes et spécialistes de l’aménagement paysager et de l’horticulture
Qu’est-ce qu’un code CNP?
La Classification nationale des professions (CNP) établit un vocabulaire normalisé pour décrire le travail exécuté par la population canadienne sur le marché du travail. Elle permet aux statisticiens, aux analystes du marché du travail, aux conseillers d’orientation professionnelle, aux employeurs et aux chercheurs d’emploi de disposer d’une manière cohérente de recueillir des données ainsi que de décrire et comprendre la nature du travail effectué dans différentes professions.
Les horticulteurs peuvent également porter les titres de postes suivants :
Le salaire annuel moyen de l’horticulteur est d’environ 44 600 $ au Canada. Le salaire annuel dans cette profession peut aller de 32 800 $ à 69 800 $ selon le type d’emploi précis et les années d’expérience (Source : Payfactors).
Les horticulteurs mènent des enquêtes scientifiques et des recherches portant sur les fruits et les fleurs afin d’améliorer et de peaufiner les variétés de plantes et les techniques de production servant à les cultiver. En réalisant des expériences et des études, ils peuvent créer de nouvelles variétés de plantes qui résistent mieux aux insectes nuisibles, aux maladies ou au stress environnemental, tout en améliorant le rendement et la qualité des cultures. Outre l’amélioration génétique, ces professionnels peuvent explorer de nouvelles méthodes de production, notamment des techniques d’irrigation ou de fertilisation novatrices en vue d’accroître l’efficacité et la durabilité dans le domaine de l’agriculture. Leur travail est donc primordial pour assurer un approvisionnement en fruits et en fleurs fiable et durable pour les consommateurs.
Les horticulteurs travaillent dans différents domaines tels que l’architecture du paysage, l’urbanisme et la production agricole. En architecture du paysage, ils créent et entretiennent des environnements extérieurs esthétiques en choisissant et en disposant des plantes et d’autres éléments comme des pièces d’eau et des appareils d’éclairage.
En urbanisme, ils conçoivent des espaces verts, des parcs et des aires de loisirs durables et sans danger pour l’environnement. Ils participent à divers aspects de la planification urbaine, notamment l’architecture du paysage, l’aménagement paysager, la foresterie urbaine et l’horticulture urbaine.
Dans le domaine de la production agricole, ils utilisent leurs connaissances pour améliorer le rendement des cultures, créer de nouvelles variétés de plantes et gérer la fertilité du sol. Les horticulteurs sont essentiels au développement durable et jouent un rôle déterminant dans la lutte contre les problèmes environnementaux tels que les changements climatiques, la perte de diversité et l’insécurité alimentaire.
Je travaille dans une serre de production biologique—la première serre commerciale de Carmacks. Chaque jour, des gens viennent me demander des conseils sur la culture des plantes. Je suis heureuse de savoir que je contribue à la production de légumes frais exempts de produits chimiques. Travailler avec les plantes fait du bien à l'âme et purifie l'esprit.
J'ai tout appris ce que je connais de la culture des légumes auprès de mes superviseurs et de mes collègues. L'équipe travaille ensemble depuis sept ans. J'ai appris à connaître les plantes médicinales et l'importance de respecter les plantes et la terre en général. J'ai appris à cultiver des légumes naturels exempts de produits chimiques que l'on peut manger sans danger. Saviez vous que vous pouvez arroser les plantes avec un mélange de lait suri et d'eau plutôt que d'utiliser des produits chimiques pour leur donner le calcium dont elles ont besoin pour bien pousser?
La serre est ouverte aux élèves désireux d'acquérir une expérience de travail. Quatre élèves de neuvième année travaillent avec moi pour une partie de l'été. Ils posent beaucoup de questions et semblent fascinés par la croissance des plantes.
J'espère que de nombreux Autochtones s'orienteront vers l'agriculture et le jardinage. Je prédis que davantage de personnes suivront une formation dans ce domaine dans l'avenir, et qu'il y aura des possibilités d'emploi à l'échelle du Canada pour d'autres exploitants agricoles. Comme les gens apprécient les légumes frais, je crois qu'il y aura des possibilités d'emploi dans les serres commerciales qui font la culture des légumes, des fleurs et des fines herbes, ainsi que dans le domaine de l'aménagement paysagé. J'aimerais contribuer à l'expansion de notre serre pour que tout le monde ici puisse avoir des légumes frais et aussi pour créer davantage d'emplois.
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